Présidente de la COP 21, la France doit prendre la mesure de la solution vélo.
Dans le contexte actuel de multiples crises et amorces de transitions : énergétique, environnement mais aussi économique et sociale, développer le vélo aurait bien des atouts. Sobre en énergie n’émettant aucune particule, le vélo combattrait efficacement l’épidémie de sédentarité. Accessible simple, il réduirait les inégalités face à la mobilité quotidienne. Convivial et ouvert, il favorise l’attractivité de nos territoires. Économe en matières premières, il permettrait de réduire les importations (notamment de produits pétroliers) et de créer des emplois locaux. Bon marché, il démultiplie l’efficacité des transports en commun en périphérie et contribuerait à les désengorger en ville dense.